The Bob’s Burgers Movie Review: juste un long, donc

Plus tôt cette semaine, BOB’s Burgers a terminé sa 12e saison. Ce n'est pas un grand précédent pour une sitcom animée Fox sur une famille de cinq personnes, qui a l'habitude de courir pendant deux, voire trois décennies (et compter). Ce qui est impressionnant dans la vivace du dimanche soir de Loren Bouchard, c'est comment conforte il est resté au cours de cette période. Alors que vous auriez du mal à dire que leurs voisins de Springfield et Quahog étaient près d'un sommet créatif après une douzaine d'années en ondes, les Belchers ont gardé les rires et le pathos à venir. La clé de la qualité fiable de la série est un engagement à modestes plaisirs: maintenant, comme au tout début, Bob’s Burgers est une tranche de vie quotidienne, son humour dépend en grande partie des personnalités bien définies les unes des autres. Il semble sûr de supposer que Bob ne se rendra jamais dans l'espace ou dans le temps.

Alors, comment prenez-vous une comédie qui est restée de façon gagnante pour toute sa durée de vie et l'élargissez-la à la plus grande toile du grand écran? C’est le défi rencontré par the Bob’s Burgers Movie, la première sortie théâtrale pour ce clan de plaisanterie de nageoires Patty et l’ensemble de bizarreries dans leur orbite. Bouchard, qui a co-écrit le film avec Nora Smith et l'a co-réalisé avec Bernard Derriman, a choisi de préserver les valeurs essentielles et l'échelle de sa création de réseau, qui semble admirable en théorie. Mais si les hamburgers de _bob sont toujours en forme de film, il est également étiré assez mince à la longueur du film. Ce qui fonctionne comme Gangbusters à 22 minutes perd une partie de son charme à près de cinq fois le temps de fonctionnement.

La configuration est prometteuse, en partie parce qu'elle augmente les enjeux tout en gardant le conflit imprégné des problèmes d'argent ordinaires des Belchers. (Dans sa manière sans substitution, Bob’s Burgers reste une comédie ouvrière typiquement ouvrière.) Le grand obstacle est un gouffre massif qui s'ouvre en dehors du restaurant familial, rendant l'entrée avant de la renommée de séquence de crédits complètement inaccessible aux clients. Ce malheur arrive à un moment où le soutien de famille perpétuellement harcelé, Bob, exprimé comme toujours par l'incomparable H. Jon Benjamin, est déjà en retard sur ses paiements à la banque et en danger de perdre tous ses appareils-un dilemme rencontré par sa femme caractéristique par sa femme, la Loopy Linda (John Roberts).

En marge de ce complot, Bouchard ajoute des parcelles B familières. La fille aînée Tina (Dan Mintz), comme un garçon (et les fesses) fou comme jamais, est toujours désespérément amoureuse du fils adolescent du restaurateur de Bob. Excitable et flamboyant le gène de l'enfant du milieu (Eugene Mirman) veut désespérément un public pour ses expériences musicales bruyantes. Et la plus jeune enfant précoce Louise (Kristen Schaal) craint que les oreilles de lapin qu'elle ne décolle ne soit pas la preuve qu'elle est immature. Bien que the Bob’s Burgers Movie ait été conçu pour un public qui a vraisemblablement connu ce monde et ses personnages (il n'y a pas de réintroduction laborieuse pour les non-initiés), il finit par jouer un peu comme un plus grand succès de scénarios que la série a déjà abordés.

Au moins, Bouchard soulève ces conflits de l'atelier de manière entraînante. Le film s'ouvre essentiellement sur un incontournable de l'animation sur grand écran: le numéro d'introduction «I Want», dans ce cas, un pin ambitieux pour l'été qui donne à l'irrésistible le style musical irrésistible du sous-sol de la série. Tout looks plus cinématographique aussi. Sans abandonner l'animation 2D traditionnelle de la série, the Bob’s Burgers Movie applique une brillance de broche, frappant les détails de fond, en ajoutant plus d'ombrage aux conceptions de personnages et en jouant (de manière plutôt distraite, à vrai dire) avec des ombres.

Le film pourrait utiliser plus de détours musicaux; Sa poignée de chansons originales rappellent que les hamburgers de _bob sont rarement plus délicieux que lorsqu'ils s'écartent dans la chanson et la danse du théâtre communautaire. L'autre accent de Bouchard ici est le mystère du meurtre: finalement, ce gouffre géant déniche un squelette, mettant les enfants Belcher sur une enquête amateur pour résoudre le crime et peut-être sauver l'entreprise. Serait-il grossier de se plaindre que ce n'est pas le plus complexe de Whonits, même selon les normes de garçons, les garçons? C'est peut-être que l'intrigue dépend un peu trop sur M. Fischoeder (Kevin Kline), le riche excentrique de Bob d'un propriétaire et ses parents amers. La famille aristocratique s'est avérée utile comme une feuille à un pour cent aux Belchers en difficulté mais essentiellement heureux, mais un peu de leur querelle du Tennessee Williams va très loin.

Bouchard emballe Le Bob’s Burgers Movie avec des camées, fournissant des promenades à une liste de retour de Belcher Friends and Frenemies-beaucoup joués par des sonneurs de comédie, certains n'ont offert qu'une seule ligne ici. Il a construit l'intrigue autour d'une appréciation de son cadre dynamique, une ville de locaux idiosyncratiques sans nom qui ressemble à une comédie italienne classique. Et il fait venir les doublures. Bouchard sait, en d'autres termes, ce qui rend son spectacle spécial. Mais il n'a pas tant approfondi son attrait que le réitére largement, capitalisant rarement sur les possibilités d'un nouveau format. Ce qu'il a fait, en fin de compte, c'est… un épisode So-So de Bob’s Burgers, distinguant des 200 plus qui l'ont précédé principalement dans Bagginess.

Pour certains fans, le simple fait de voir ces personnages sur grand écran peut suffire. D'autres peuvent se retrouver à penser à des histoires plus anciennes qui auraient pu mieux fonctionner à la durée des fonctionnalités. (Les parodies inestimables de l'émission de e.t. et jaws, par exemple, auraient facilement pu être étendues dans des aventures dignes du multiplex.) Cela pourrait bien être un cas de bonne comédie, mauvais médium. À la télévision, Bob’s Burgers est une nourriture réconfortante exquise. Dans la forme du film, cela ressemble plus à une aide aux restes de restes, plus grande en portion que de saveur.

Le film Bob’s Burgers OPENS dans les salles partout vendredi 27 mai. _Pour plus de critiques et d'écriture par A.A. Dowd, visitez HisAuthory Page.